Vimy se souvenir

En souvenir de la crête de Vimy 1

Mémorial de Vimy © 2016, R. McKinnon

En souvenir de la crête de Vimy 2

Mémorial de Vimy © 2016, R. McKinnon

En souvenir de la crête de Vimy 4

Mémorial de Vimy © 2016, R. McKinnon

Sous des nuages ​​de coton dans un ciel bleu profond, nous sommes tombés dessus, Deux flèches blanches passant d'une colline verte basse:  Crête de Vimy.

Nous n'avions pas prévu de venir ici. Mais alors que nous entamions la prochaine étape de notre voyage, cela s'est révélé comme un petit détour, et pour les Canadiens en liberté en France, c'était un choix évident.

La crête de Vimy est notre monument aux morts le plus important et le plus important à l'extérieur du Canada, un monument national ancré dans le sol payé de douleur, et acte perpétuel d'une France reconnaissante.

C'est un monument au courage, pour servir, et à la folie — la folie des nations à laquelle nous devons à maintes reprises répondre en invoquant les légions de notre jeunesse la plus précieuse à lutter, souffrir, mourir, et, encore et encore, pour surmonter la chose la plus proche de l'enfer on peut trouver sur cette terre — et au courage et au service de ceux qui, hier et aujourd'hui, répondre à cet appel.

Ce grand champ de bataille de cette Grande Guerre, cent ans plus tard, reste loué et défoncé, mais comme le monde roule, dans sa majesté le temps a forgé la douceur.

Dans une symétrie étrange, où les éclats d'obus ont volé une fois et les explosifs puissants ont passé leur rage, des cratères herbeux de grands arbres s'élèvent maintenant haut, larges branches se propageant contre un ciel lumineux, racines plongeant profondément dans l'humidité, sombre, terre durement gagnée.

Les mots ne peuvent pas porter le poids et la puissance de cet endroit. Ils ne peuvent pas toucher la fraîcheur de la pierre sculptée avec les noms de plus de 11,000 Victimes canadiennes de cette guerre qui n'ont pas de tombe connue. Ils ne peuvent pas chuchoter la brise ondulante, portant sur elle un doux bourdonnement lointain d'insectes et les chants d'oiseaux dardant au-dessus de cette luxuriante, terre vivante, où jaillit une fois le crash et les cris de bataille et les cris des hommes à l'agonie.

Dans ce sanctuaire, où une fois la guerre a tonné et rugi, ils ne peuvent pas parler de la paix tranquille qui imprègne maintenant.

“Ils ne vieilliront pas, comme nous qui restons vieillissons:
L'âge ne les fatiguera pas, ni les années condamnent.
Au coucher du soleil et le matin
Nous nous rappellerons d'eux.”
— Pour les morts, 1914, Robert Laurence Binyon


Nouvelles de la bataille

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