
Vendredi dernier, Paris, Ville Lumière, a été assailli par l'obscurité — une obscurité née de la ferveur religieuse pervertie; née de l'ignorance; né de la haine.
Le jour d'avant, il était Beyrouth. Chaque jour, il est Syrie et l'Irak.
Nous vacillera de cette folie meurtrière. Nous pleurons. Nous pleurons. Nous rage. Nous crions de vengeance.
Pourtant, nous ne devons pas rejoindre cette obscurité envahissante, et nous ne devons pas agir dans la précipitation colère ou de peur. Nous devons être une raison; nous devons être le calme mortel dans l'oeil de la tempête, et quand nous agissons, nous devons être concentré et déterminé. Mais nous devons d'abord savoir qui est en effet l'ennemi, et qui ne sont pas.
Beaucoup disent: “Il était musulmans qui ont attaqué; Les musulmans sont une menace!” — ils disent musulmans sont l'ennemi.
Musulmans ne sont pas l'ennemi. “Ils” sont pas une menace pour nous. Un grand nombre de “nous,” en effet, sont en fait des musulmans: nos amis et nos familles, Nos voisins, nos collègues.
Il est également allégué que certains des auteurs de cette nouvelle indignation étaient réfugiés syriens: “Voir!” dire un trop grand nombre, “Les réfugiés sont une menace!” … et “Nous devons mettre fin à notre apport prévu de réfugiés syriens! Il est tout simplement trop dangereux!” disent-ils.
Mais il semble aussi que au moins un de ces voyous était un citoyen français né; pas un Syrien, pas un réfugié du tout. Devrions-nous donc pas fermer nos frontières à tous les citoyens français? Ils sont tout simplement trop de risques? Ou, ce que des milliers de voyageurs qui arrivent chaque jour à partir de qui-sait-où-faire qui sait ce que? Comment pouvons-nous être bien sur qu'aucun eux sont des terroristes?
Devrions-nous simplement fermer nos frontières? Il est tout simplement trop dangereux? Bien sûr que non.
Le monde est ni plus ni moins dangereux aujourd'hui qu'il ne l'était vendredi matin, ou le mois dernier, or last year. The difference is that today we see it through a lens tinted more darkly with fear and anger. We must keep our balance, indépendamment.
Nous allons bien sûr prendre le soin le plus prudente dans vetting ces réfugiés que nous accueillons en ce moment volatile. Mais les réfugiés ne sont pas l'ennemi; they are no threat to us; nous ne devons pas les craignons.
Nous devons poursuivre sur, car nous devons reconnaître que ce sont des gens dont les maisons et les villes ont été rasées et ravagée, qui ont vécu dans un tourbillon de mort imminente et la destruction, de désespoir, misère, et le désespoir, leurs espoirs et leurs rêves brisés.
Ils cherchent qu'une occasion de vivre en paix; à travailler, pour élever leurs familles, pour voir leurs petits-enfants nés et rebondir sur leurs genoux; comme tout le monde.
Ils demandent notre aide, refuge, paradis de la tempête. Perdu dans l'obscurité, ils cherchent la lumière. Soyons la lumière.





